Wednesday, August 19, 2020

Une citoyenne engagée dans son combat pour les enfants

 



La citoyenne Élizabeth Dufresne-Gagnon est l'instigatrice de la pétition en opposition au projet de loi n °  61 qui a été déposée sur le site de l'Assemblée nationale du Québec par le député de la circonscription de Chomedey, M. Guy Ouellette. Avant le dépôt de cette pétition par M. Ouellette, la citoyenne de St-Thérèse avait déjà  recueilli plus de 200 000 signatures sur le site Change.org. 

Mme. Dufresne-Gagnon a réagi aujourd'hui à l'annonce de l'abolition du projet de loi  n ° 61: '' L'abolition du projet de loi n ° 61 pour le remplacer par un autre projet de loi avec les mêmes objectifs n 'est que de la poudre aux yeux! On cherche ainsi à faire croire aux citoyens qu'ils ont gagné la bataille et à les inciter à ne plus signer la pétition. Cette démarche perturbe grandement le gouvernement. On ne baisse pas la garde et on continue! Il faut atteindre 200 000 signatures d'ici le 13 septembre. ''

Élizabeth Dufresne-Gagnon tente aussi depuis quelques jours de trouver un député pour parrainer sa pétition contre le port du masque chez les personnes mineures, mais jusqu'ici elle n'a eu aucun retour positif. Voici le texte intégral de la pétition: 

Contre le port du masque obligatoire chez nos jeunes  mineurs

Considérant que les enlèvements d'enfants ainsi que le trafic humain des jeunes personnes sont  une réalité et que le port du masque obligatoire rendrait pratiquement  impossible de ces jeunes personnes en péril;

Considérant que nos enfants sont plus à risque d'être victime de trafic humain que de mourir de  la Covid19 et que nous souhaitons favoriser une rentrée scolaire un peu plus normale;

Considérant que le port du masque obligatoire peut favoriser l’appel ou exacerber des  problèmes de peau tels que l’acné, la rosacée, l’eczéma, le psoriasis, etc .;

Considérant qu'il n'y a que 8,3% des cas confirmés chez nos jeunes ayant de 0 à 19 ans et que  les cas d'hospitalisation ou de décès dans ce groupe d'âge sont pratiquement inexistants selon  les dernières données de l «INSPQ;

Considérant qu'il n'y a aucune donnée scientifique permettant d'affirmer ou d'infirmer le fait  que nos jeunes peuvent être des vecteurs susceptibles de transmettre le virus Covid19 tout en  étant asymptomatiques;

Considérant que la province de l'Alberta a mis fin à l'état d'urgence et que nous n'avons aucune  date de fin malgré qu'il n'y a plus vraiment de décès au Québec attribuable à la Covid19;

Considérant que la Suède gère plutôt bien la crise sanitaire actuelle malgré l'absence d'une telle  mesure;

Nous demandons au gouvernement du Québec de ne pas imposer aux personnes d'âge  mineur l'obligation de porter un masque dans les lieux publics fermés lorsque ceux-ci sont  asymptomatiques.

Nous invitons aujourd'hui les citoyens à écrire à leurs députés afin de leur demander de parrainer cette pétition. Vous trouverez ici la liste des députés:  http://www.assnat.qc.ca/fr/deputes/index.html

Merci 💓 ❤️ ❤️




Monday, August 3, 2020

« Désinformation » ou vérité?

La docteure américaine Simone Gold s'est fait connaître récemment lorsque la vidéo d’une conférence de presse qu’elle avait donnée avec quelques-uns de ses collègues du groupe « America’s Frontline Doctors » est devenue virale sur Twitter, Facebook et YouTube, puis a été retirée de ces médias sociaux peu après sa publication, sous prétexte qu’elle véhiculait de la « désinformation ». 

                                                           Image: Twitter
 Qui est Simone Gold? 

Médecin urgentiste et avocate, Simone Gold vit à Los Angeles. Elle a fait ses études à la Chicago Medical School et à la Stanford University Law School. Elle cumule plus de 31 années d'expérience dans le domaine médical.

Des médecins pour dénoncer la « désinformation » 

Le groupe de médecins « America’s Frontline Doctors » a été le premier à faire entendre ses inquiétudes face aux mesures restrictives prises pour combattre la pandémie. Il dénonce le climat de peur entretenu par les médias et les gouvernements, le refus de traiter les patients à l'hydroxychloroquine et la « désinformation ».

Du point de vue de ces médecins, les médias et les gouvernements qui accusent leurs contradicteurs de propager de la désinformation s’emploient eux-mêmes à désinformer le public. On remarque d’ailleurs que certains médias invoquent des études qui prêtent le flanc à la critique vu leur manque de rigueur scientifique. C’est le cas, par exemple, d’une étude citée par Radio-Canada le 29 juillet 2020, dans un article tirant à boulets rouges sur le groupe « America’s Frontline Doctors ».

Selon les auteurs de cette étude , le port obligatoire du masque dans la population aurait permis de réduire le taux de propagation du virus en avril et en mai dernier. Or, la comparaison est faite par rapport à un modèle théorique, et non entre un groupe contrôle et un groupe expérimental, par exemple entre les États où le masque était obligatoire et ceux où il ne l’était pas. De plus, les auteurs admettent eux-mêmes ne pas avoir vérifié si les gens portaient effectivement le masque ou non.

Un phénomène qui s'étend jusqu'en Allemagne et en Espagne... pour le moment!

En Allemagne, le microbiologiste Martin Haditsch, le  Dr. Heiko Schöning et le Dr. Bodo Schiffmann ont également formé un regroupement de médecins « pour la vérité ». Ils se désolent notamment des conséquences des mesures gouvernementales, qui auraient entraîné de 5 000 à 125 000 décès, selon un  rapport interne du ministère fédéral de l'Intérieur.

À l'instar des médecins américains et allemands, les docteurs Natalia Prego Cancelo et Angel Luis Valdepenas, de Madrid, dénoncent aussi la situation. Ils reprochent aux gouvernements de ne pas fournir les données réelles et d'exagérer la gravité de la pandémie.

«Lorsqu’on examine les données médicales concernant la COVID-19, on voit bien que tout ce qu’on nous raconte est faux. Il faut donc se demander à qui profitent ces mensonges et qui a le pouvoir de les fabriquer? » Peut-t-on entendre dans la vidéo tournée à Madrid.

Reste à savoir qui seront les prochains médecins à s'ajouter à cette vague de dénonciation.

Trois-cent-cinquante patients atteints de la Covid19 COVID-19 guéris grâce à l'hydroxychloroquine

 La Dre. Stella Immanuel, que l'on a voit brièvement dans la vidéo censurée des « America’s Frontline Doctors » se trouve depuis quelques jours au centre d'une controverse. Car depuis la publication de la vidéo, les médias l'accusent de croire aux démons et aux reptiliens, ce qui leur permet de la discréditer en la qualifiant de « conspirationniste ».

La Dre.  Stella Immanuel est médecin, auteure et pasteure. Originaire du Cameroun, elle a fait ses études de médecine en Afrique de l'Ouest, au Nigéria.

« J'ai déjà utilisé l’hydroxychloroquine avec des patients atteints de paludisme. Je suis donc habituée à ce médicament. J’ai personnellement traité plus de 350  patients atteints de la COVID-19 avec de l’hydroxychloroquine, du zinc et du Zithromax. Des patients diabétiques, des patients souffrant d'hypertension, des patients asthmatiques, des personnes âgées. Mon patient le plus âgé avait plus de 80 ans. Et le résultat a été le même : tout va bien!

Une étude sur la chloroquine et les coronavirus

La Dre.  Simone Gold a également profité de la vidéo qui a été filmée au Capitol Hill à Washington pour parler d'une étude datant de 2005 «  Chloroquine is a potent inhibitor of SARS coronavirus infection and spread  », qui tend à démontrer que la chloroquine est efficace pour prévenir et traiter les coronavirus.

Contrer la campagne de « désinformation » massive sur la COVID-19

La vidéo a été diffusée par les « America's Frontline Doctors » dans le but de contrer la campagne de désinformation massive sur la COVID-19. Les médecins qui s'expriment dans la vidéo se désolent de la difficulté d’exprimer des opinions allant à l’encontre de celles qui sont véhiculées par les médias et les gouvernements, depuis le début de la crise. La censure qu’ils ont subie sur les médias sociaux et le tir groupé des grands médias contre eux leur donnent nettement raison sur ce point.

Qui sont les « America’s Frontline Doctors »?

Le Dr. Robert Hamilton, que l'on peut entendre au début de la vidéo, pratique la pédiatrie depuis 36 ans en Californie. Il affirme notamment que les enfants devraient pouvoir retourner à l'école très vite, car ils perdent leurs acquis. De plus, il précise que les enfants supportent très bien le virus, qu'ils sont asymptomatiques et qu'ils ne transmettent pas le virus aux adultes.

Le Dr.  Dan Erickson vit également en Californie. Il est copropriétaire d'une clinique d'urgence en osthéopathie. Le Dr. Erickson souligne que le confinement n'a pas « aplati » significativement la courbe de transmission du virus. Une opinion que partage son confrère, le Dr. James Todaro qui est également chercheur et auteur ( «  An Effective Treatment for Coronavirus  » , «  A Study Out of Thin Air  » ).
 Le D r James Todaro note aussi que dans la panique générale causée par les médias, personne n'a pris le temps de parler des effets secondaires du confinement, qui sont pourtant considérables.

En effet, le confinement aurait fait beaucoup plus de mal que de bien, selon ces médecins. Notamment parmi les personnes âgées qui ont cessé de consulter leurs médecins de façon régulière, par peur d'aller à l'hôpital et de contracter le virus. En outre, les aînés n'ont plus accès aux activités sociales et physiques qui leurs permettaient auparavant de garder la forme et le moral. Le confinement les a privés de sorties à l’extérieur, où ils pouvaient prendre l’air comme il est sain de le faire.

On constate aussi beaucoup de cas de dépression parmi les enfants, et on s'inquiète pour leur santé physique puisque dans les quartiers les plus pauvres des États-Unis, les
enfants étaient nourris à l'école, leurs familles n'ayant pas les moyens de subvenir adéquatement à leurs besoins.

 La lumière au bout du tunnel

En définitive, cette crise ne peut que diviser la population en deux camps, la désinformation des uns étant la vérité des autres. Nous aspirons tous à voir enfin la lumière au bout du tunnel. Reste à savoir de quel côté proviendra la lumière.





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